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Le footballeur
La danse du pêcheur à pieds
Les paravents
A l’abri de la digue
Les silhouettes
Le jeu de cube
Le contemplatif
Ne rien faire
La régate
Le poste de secours
Les cabanes
A la croisée des pas
Les parasols orange et bleu
Le voilier sur la plage
Le paravent bleu ciel
Le parasol replié
Vous avez l’heure ?
La direction du vent
Les deux bateaux entre la rambarde
plage-053 copie
Un drôle de crabe
L’escalier sur la mer
Promenade à marée basse
Le parasol jaune
Poste de secours avec balcon
Petites et grande cabane
Le poste SNSM
Les drapeaux
La queue du cerf-volant
Les deux cabanes et le baigneur
Les cabines et les trois bateaux
Le paravent
Jeux
Le signal
Le marcheur
Les cabanes et la mer
Le baigneur derrière les trois cabanes
La maison au bout de la rangée
Vue sur la mer
Le fauteuil de cinéma
Le voilier
Les deux lignes
En attendant les baigneurs
Les bouées du chenal
Mouillage de genoux le long de la jetée
Le tracteur échoué
Le maillot rouge
Dans l’eau
Les chemises colorées
La jeune fille au cerf-volant (volet1)
La jeune fille au cerf-volant (volet 2)
La jeune fille au cerf-volant (volet 3)
Le bateau derrière les parasols
Le parasol rouhe
Le noeud
La chaise
Cache cache
plage-036 copie
Dans le vent
Les casquettes
Le pointu et le parasol
Les parasols repliés
La ronde
Le panier oublié
Rien entre deux presque-riens
Les cabanes multicolores
Jeux de plage
Le toboggan
Ouverture
Le strapontin
La loge (coté gauche)
Au spectacle
La loge (coté droit)
Mise en place
Que le spectacle commence
Le voile 1
Le voile 2
Le voile 3
Le ballet
La danse des Planches
Le théatre des Planches 1
Le théatre des Planches 2
Le théatre des Planches 3
Spectateurs
 
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Les bains de mer

Cette série témoigne d’un temps lointain où la mer devenait à peine accessible et faisait rêver, un littoral encore relativement vierge, un bord de mer décrit en lumière et reflets par les impressionnistes.

Les bains de mer questionnent sur la mémoire et le décalage à la réalité. Nos souvenirs de cette époque sont constitués d’images rapportées par les peintres, donc interprétées et dans le fond et dans la forme.

Gerard Staron a donc choisi un medium qui par son rendu agit sur la perception à l’instar de la peinture : Le polaroid, par son absence totale de piqué, par la diffusion des couleurs procure les même impressions que la peinture.

Le polaroid est déjà un appareil ancien dans notre mémoire et par là même est associé au passé, et participe donc à raccrocher ces images pourtant récentes à un imaginaire du passé.

Il ne s’agit pas ici d’une tentative de rejoindre le défunt courant des pictorialistes, qui niait la particularité du medium photographique et ajoutait au procédé des actes manuels censés redonner un statut d’œuvre à un procédé industriel. Au contraire, c’est ici la particularité du medium qui donne du sens à l’image.

La série comporte 84 images.

Les images sont tirées en digigraphie au format 40×50 sur du papier fineArt mat Hahnmühle museum Etching.